Comédienne, metteur en scène, auteur, formatrice
Morwenna Prigent a fait la formation professionnelle du Conservatoire de Brest où elle travaille avec Madeleine Louarn sur les écritures contemporaines notamment Beckett. Elle commencera d’ailleurs à écrire et à mettre en scène sous l’oeil de Régine Trotel et Sylvian Bruchon. Morwenna continue sa formation par une recherche théorique à la faculté de Nantes sous l’égide d’Isabelle Degauque.
Elle remonte sur scène en intégrant l’école de Pierre Debauche–Françoise Danell où elle joue Armandine dans Le Dindon de Feydeau, Angela dans Et les poissons partirent combattre les hommes d’Angelica Lidell. Elle fait également ses armes en tant que dramaturge et metteur en scène – notamment avec La Lumière sous la Fenêtre et La Baraque de L’Electric Bazar.
C’est au sein des Clakbitumes que Morwenna Prigent développe son écriture et sa rigueur de metteur en scène. elle est à la tête de tous les projets de la compagnie. Elle s’intéresse également au clown, elle le travaille, l’éprouve et l’approuve dans Ding Dong. Aujourd’hui elle se passionne pour la marionnette et continue son travail d’auteur en répondant aux commandes de pièces de diverses compagnies – notamment Cie La Foliale. Depuis 2013, elle présente l’émission radiophonique Théâtre à la plancha sur Le Frigo.
Morwenna est venu rejoindre l’équipe artistique en fin de création de Juste une cachette pour retrouver Philippe, découvrir BODOBODÓ Production France et plonger dans cette pièce de théâtre sur des Justes… Plus qu’une simple découverte, elle y a aussi mis les mains : coiffure et technique ! Son engouement pour la pièce, ses encouragements et ses retours, efficaces et précis, donnèrent envie à la metteur en scène comme à l’auteur, de lui confier à l’avenir, le précieux rôle de regard extérieur. C’est ainsi que Morwenna est dans l’équipe de Juste une cachette depuis novembre 2012. Et c’est extra !
Lors des prochaines dates, elle vivra l’aventure encore plus de l’intérieure puisqu’elle sera dans les coulisses… Mais pour y faire quoi ? (…)